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L'IVOIRE DEVRAIT D'ANIMAUX MORTS NATURELLEMENT
Tel n'est pas l'avis des pays africains, où les populations d'éléphants sont en déclin, qui, pour la plupart, ne sont pas favorables à la reprise du commerce légal de l'ivoire. Ni celui des pays occidentaux, nombreux à que cette étude, si elle constitue [url=http://traffic-news.ozzotec.com/archives/13097]Mille postes supplémentaires de remplaçants pour limiter à la rentrée les classes sans prof[/url] une base de travail, ne peut être utilisée en l'état. Et encore moins celui des associations de protection de la faune sauvage, unanimes à considérer que la reprise du commerce légal n'empêcherait pas l'ivoire illicite de à .
Depuis 1989, les populations d'éléphants en Afrique australe ont [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] beaucoup augmenté : leurs effectifs, à ce jour, y seraient estimés de 300 000 à 350 000. Ainsi, sous la pression de l', du Botswana, de la et du , deux ventes ponctuelles d'ivoire ont été autorisées par la Cites, en 1999 et en 2008, qui ont permis à ces pays d'écouler vers la Chine et le une partie de leur stock.
Enfin, et ce n'est pas le moindre des arguments : le rapport – qui au grand dam des pays francophones n'a pas été intégralement traduit de l'anglais – insiste sur le fait que ce processus occasionnerait pour "l'Etat, les propriétaires terriens privés ou les communautés", des rentrées et des incitations financières à protéger leurs animaux.
Il n'en a pas été de même en ce qui concerne celle menée en 2008: le commerce illégal n'a cessé d' depuis 2004, avec une nette accélération en 2009. Sans que l'on puisse de ces résultats contradictoires de véritables conclusions.
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Difficile, pourtant, d'interpréter autrement le document le plus débattu lors de cette session, très explicitement intitulé: "Mécanisme de prise de décisions et conditions nécessaires pour un futur commerce de l'ivoire de l'éléphant d'". Cette étude a été l'objet de multiples réserves de la part de plusieurs Etats membres. Mais, selon toute vraisemblance, elle n'en arrivera pas moins sur la table des négociations [url=http://www.allgz.com/forum.php?mod=viewthread&tid=3078832]moncler outlet Creating An IPad Application[/url] de la prochaine Conférence des parties de la Cites, prévue en mars 2013 à Bangkok.
Au c?ur du problème : la menace que fait sur l'éléphant d'Afrique la forte augmentation du commerce illégal d'ivoire, [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] qui a [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] atteint ces dernières années des niveaux [url=http://configurewp.net/activity/p/92920/]barbour Abeilles Bruxelles propose dinterdire durant deux ans lutilisation de trois insecticides[/url] record depuis son interdiction en 1989. Pour la seule année 2011, 24,3 tonnes d'ivoire illégal ont ainsi été interceptées.
D'où la décision, prise en 2010 par la Cites lors de la dernière Conférence des parties, de à un groupe d'experts un rapport sur les effets que pourrait entra?ner une reprise du commerce légal de l'ivoire. [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] Avec l'espoir affiché de réduire ainsi le trafic actuel et les disparités entre les pays qui abritent les dernières populations [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] d'éléphants.
IMPLICATION CROISSANTE DU CRIME ORGANIS?
D'après les données [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] d'ETIS – le système d'information sur le commerce de produits de l'éléphant utilisé par la Cites –, la première vente ponctuelle d'ivoire, autorisée en 1999, avait été suivie par une baisse du trafic pendant cinq années consécutives.
"Avant d' le commerce de l'ivoire, sous quelque forme que ce soit, la priorité est de un terme au braconnage et au trafic", estime l'Américain . Juriste au Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), il se dit persuadé que "le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] commerce légal entretient et perpétue une demande croissante en ivoire d'éléphant".
de l'ivoire? "La question n'est pas à l'ordre du jour", affirme le Comité permanent de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites), réuni à Genève du 23 au 27 juillet pour sa 62e session.
Qui déciderait ensuite de la mise sur le marché ? Le rapport propose un mécanisme collectif auquel participeraient des représentants de la Cites aussi bien que des représentants locaux des pays concernés. Qui procéderait aux ventes? Rowan Martin suggère la création d'une organisation centrale de vente de l'ivoire chargée de le lien entre les acteurs de la conservation des éléphants, les pays africains producteurs d'ivoire et les pays acheteurs. Ce dispositif aurait, selon lui, l'avantage de réduire les intermédiaires, source potentielle de trafic.
POPULATIONS D'?L?PHANTS EN D?CLIN
Elles correspondent pour l'essentiel à quatorze saisies à grande échelle : le signe, selon les de lutte contre la contrebande, d'une implication croissante du crime organisé dans ce trafic, dont les [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] principaux destinataires sont la et surtout la .
Réclamant le droit d' leurs , la et la Zambie souhaiteraient à leur tour bénéficier d'une telle mesure. Dans le même temps, d'autres pays, situés en Afrique centrale, de l'Ouest et de l'Est, font face à un déclin rapide des éléphants, [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] braconnés pour leur ivoire.
Ce travail, dirigé par au sein d'un groupe d'experts installé en Afrique australe, développe donc, dans les grandes lignes, ce que pourraient être les règles d'un tel commerce. L'origine de l'ivoire d'abord : il devrait d'animaux morts naturellement, "de l'abattage des [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] animaux posant des problèmes, de la chasse aux trophées et de l'abattage sélectif pour des raisons écologiques".