peuterey outlet Nicolas Sarkozy et la CFDT locca

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Le réformisme de M. Chérèque est indexé sur une du résultat. Alors qu'ils souffrent d'une faiblesse persistante et d'une incapacité à se , les syndicats ont encore plus besoin d' des avancées. La réforme de la représentativité [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] syndicale leur impose désormais de leur légitimité à de leur audience électorale. Le syndicalisme doit ses preuves.
du séisme de 2003, quand sa caution à la réforme Fillon lui avait fait plus de 80 000 adhérents, ne rejouera pas le même scénario.

L'autre erreur porte sur la méthode. En menant une concertation - et non [url=http://teenage.szsky.com/home.php?mod=space&uid=774337][/url] une négociation comme en 2003 - au pas de charge, en deux mois, sans la préparer en amont, sans la moindre pédagogie, M. Sarkozy a donné le sentiment de privilégier une réforme comptable quand on aurait pu une réforme de société.

La partie s'annon?ait délicate pour M. Chérèque. Alors que flotte dans l'air un parfum de radicalité, même s'il ne se [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] traduit pas aujourd'hui par [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] une forte combativité sociale, il lui fallait qu'il tenait le cap du réformisme sans céder aux sirènes du gouvernement - qui [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] jusqu'au bout ne désespérait pas de le à sa réforme. En [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] distillant ses annonces, en jouant habilement du calendrier, M. Sarkozy espérait une brèche dans le front du refus syndical. Peine perdue.
Fort d'un quitus d'une ampleur inédite sur l'activité de la CFDT depuis 2006, 86,8 %, M. Chérèque a gagné son congrès le 10 juin. Jeudi, les militants cédétistes ont rejeté un amendement qui refusait un nouvel allongement [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] de la durée de cotisations. Comme en 2003, ils ont confirmé qu'ils n'étaient pas opposés à cette perspective. Mais c'est un "oui si". Cette voie n'est "acceptable" qu'à "la condition d'un partage des gains d'espérance de vie et d'une possibilité de choix renforcée".


Conforté par son congrès et par [url=http://www.paw.hi-ho.ne.jp/cgi-bin/user/yuuki-eiji/s-board.cgi?p]boots ugg pas cher Converting[/url] une résolution votée à 76,9 %, M. Chérèque a jugé que le [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] gouvernement "maltraite la démocratie quand il agit à la hussarde". Il y a là une occasion manquée. Avec leur action du 24 juin, les syndicats n'arrêteront sans doute pas le char de la réforme. Mais, au-delà de leur opposition, M. Sarkozy s'est privé de un large consensus de l'opinion.
La CFDT aurait donc pu se séduire par une réforme des [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] retraites. Mais le chef de l'Etat, qui s'était engagé [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] en 2007 à ne pas sur [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] l'?ge légal de départ à 60 ans, n'a pas rendu possible un [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] accord. En s'arc-boutant sur la mise à bas des 60 ans, sans des gages sur la prise en compte de la pénibilité - et les écarts d'espérance de vie qu'elle génère - et les longues, il a cimenté l'unité syndicale. Et il a fermé la porte [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] à la CFDT, amenant M. Chérèque à qu'il n'était pas dans "une posture de négociation de contreparties à une réforme que nous combattons".
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Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a jugé dimanche "parfaitement possible" [link widoczny dla zalogowanych] et "réalisable" que la France repasse à un déficit public équivalent à 3 % du produit intérieur brut (PIB) en 2013
Invité de l'émission "Internationales", [link widoczny dla zalogowanych] diffusée sur TV5 Monde et RFI, en partenariat avec Le Monde, M. Noyer a indiqué qu'il convient de "privilégier les [link widoczny dla zalogowanych] mesures de réduction des dépenses". La France a "un niveau [link widoczny dla zalogowanych] de dépenses publiques très élevé", a-t-il fait valoir, donc "de la [link widoczny dla zalogowanych] marge de manoeuvre" pour les baisser. "Augmenter les recettes a un effet plus direct sur le pouvoir d'achat et donc cela présente plus de risque sur la croissance",a-t-il ajouté. ( )
La France prévoit de ramener son déficit public de 8 %-8,2 % [link widoczny dla zalogowanych] cette année à 6 % en 2011, puis 4,6 % en 2012 et 3 % [link widoczny dla zalogowanych] en 2013. elle table pour ce faire sur une croissance de 2,5 % à partir de 2011. Le premier ministre, Fran?ois Fillon a annoncé samedi que le plan de redressement des comptes publics fran?ais portera sur 100 milliards d'uieors au [link widoczny dla zalogowanych] total : pour moitié via une réduction [link widoczny dla zalogowanych] de dépenses et pour moitié via une augmentation dse recettes.
Interrogé sur les risques que pourraient faire [link widoczny dla zalogowanych] peser sur la reprise les différents plans d'austérité qui vont être mis en place en Europe, M. Noyer a fait valoir que si les Etats ne prenaient pas des mesures pour ramener leurs finances "jusqu'à
l'équilibre, on ne ramènera pas la confiance chez les entreprises et les particuliers". [link widoczny dla zalogowanych] Et "si on ne ramène pas la [link widoczny dla zalogowanych] confiance, [link widoczny dla zalogowanych] on ne réussira pas a etrouver une croissance solide", [link widoczny dla zalogowanych] a-t-il noté. [link widoczny dla zalogowanych] ( )