woolrich outlet Dans le djebel turkmène, la mort

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Mais cette nouvelle donne menace de la montagne turkmène, dont la beauté préservée fait à une petite , dans une sanglante guerre confessionnelle. Village contre village. "A [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich outlet[/url] chaque fois qu'on entre dans un village alaouite, nous prenons garde à ne de mal à personne, assure Abou Moustapha, un combattant turkmène. Hélas, ils préfèrent vers Lattaquié et se réfugier dans les bras du régime."
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"Le jour où Rabie est tombé, les fonctionnaires sont tous partis", raconte , le seul épicier resté ouvert. "L'école a fermé, le dispensaire aussi. Le gouvernement a cessé de les salaires, il a coupé l'eau et l'électricité. On vit un blocus presque complet. Pour du riz et des bo?tes de conserve, je suis obligé de appel à des contrebandiers qui viennent de ."
Les rangs de l'ASL ne cessent de dans la montagne turkmène et, de jour en jour, les combattants s'enhardissent. Après coupé, début septembre, l'autoroute Lattaquié-Alep, ils s'attaquent désormais aux villages alaouites en contrebas, progressant peu à peu vers la grande ville c?tière de Lattaquié. Des combats se déroulent actuellement près du lac Baloghan.
Dans le chaudron ethnico-confessionnel en fusion qu'est la Syrie en guerre, l'avertissement fait froid dans [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]www.thehygienerevolution.com/hollister.php[/url] le dos.
Le régime et les rebelles s'accusent mutuellement d' mis le feu au village alaouite de Kindessieh après sa chute aux mains de l'ASL. L'armée de Bachar Al-Assad, qui ne peut se de les rebelles pénétrer dans le réduit alaouite, dernier refuge potentiel du régime, prend la menace au sérieux et a [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler[/url] renforcé ses positions. "C'est gr?ce aux combattants du djebel turkmène que le projet d'Etat alaouite de Bachar va échouer, clame . Nous l'empêchons d'établir le contact avec les alaouites de Turquie."
. Et voilà la ! Au nord, le sandjak d'Alexandrette, territoire turc peuplé majoritairement d'Arabes alaouites turquisés mais favorables au régime de Bachar Al-Assad. "Ce sont eux qui viennent le feu à la forêt pour nous empêcher de la frontière", siffle Tarek en désignant les arbres calcinés.
Au sud, le djebel turkmène syrien, habité par des Turcomans arabisés, qui soutiennent la révolution dans laquelle ils voient l'occasion de leur revanche sur un régime qu'ils accusent de persécuter les sunnites, dont ils font partie. Cette opposition à front renversé, de part et d'autre de la frontière turco-syrienne, pourrait par entra?ner Damas et Ankara dans une guerre par procuration alors que la tension est à son comble depuis une dizaine de jours. Depuis que des obus syriens visant les rebelles installés à la frontière ont atterri en territoire turc, suscitant la riposte de l' turque.
Tous les jours, ils viennent haut dans le ciel, tels des rapaces [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4x-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-NEON-LIGHT-STRIP-RED-/320609712722]louboutin pas cher How Alpha [/url] à la recherche d'une proie. [url=http://cgi.ebay.co.uk/350W-SHEEP-GOATS-SHEARING-CLIPPER-WOOL-SHEARS-RRP899new-/290398329820?pt=LH_DefaultDomain_0&hash=item439d16dbdc]woolrich outlet A Beginner Gu[/url] Et finissent par l?cher leur cargaison meurtrière : des barils bourrés de plusieurs [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich online shop[/url] dizaines ou centaines de kilogrammes de TNT et de morceaux de métal afin de le plus de victimes possible. Les Syriens appellent ces bombes improvisées les "barils".
Le seul h?pital de campagne de la région a été installé à Yamadieh, quasiment sur la frontière. "Nous sommes trop près de la Turquie pour que les avions et les hélicoptères de Bachar viennent nous bombarder, se réjouit , assistant médical et combattant à la carrure et à la barbe impressionnantes. Ici, c'est déjà la Turquie. Si Bachar vient nous , il trouvera Erdogan pour nous protéger. Vive Erdogan ! Sans la Turquie, nous serions tous morts ici."
Tout au nord, la rébellion se prépare à le village de Kassab, frontalier avec la Turquie, peuplé de Turkmènes et d'Arméniens, et encore sous contr?le de l'armée syrienne. "Si on le prend, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] on aura accès à la mer et on disposera d'un passage officiel avec la Turquie. On pourra des armes", se réjouit Abou Moustapha, avant de : "Je préviens nos frères arméniens à Kassab : qu'ils partent avant l'offensive de l'Armée libre, sinon ils vont des pertes civiles et encore se d'un génocide perpétré par des Turcs."
Terrorisés par les "barils" et épuisés par le blocus, la majorité des habitants du djebel ont [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] fui vers la Turquie voisine. Mais depuis mi-septembre, la frontière est fermée aux réfugiés. Et les nouveaux candidats à l'exil dorment dans la forêt, le long de la frontière en attendant le moment le plus favorable pour de l'autre c?té. Seuls les hommes sont restés à Rabie, pour avec l'ASL ou protéger leurs maisons contre les pillards. Ceux qui ont fui en Turquie ont [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]www.tagverts.com/barbour.php[/url] été remplacés par des déplacés intérieurs, le plus souvent des Turcomans de la région c?tière, encore sous contr?le gouvernemental.
"LES FONCTIONNAIRES SONT TOUS PARTIS"
C'est le cas du docteur . Il a fui Lattaquié, où il est recherché par les de sécurité, avec ses deux filles, Nesma, médecin, et Safa, pharmacienne. Il est le seul praticien à 15 km à la ronde et traite aussi bien les bébés en proie à des diarrhées que les combattants blessés au combat ou les civils déchiquetés par les bombardements. Il délivre tout à la fois ordonnances et médicaments, mais n'a ni ambulance, ni matériel de dialyse, ni carburant pour fonctionner quoi [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] que ce soit.
Les bombardements ont commencé au même moment, sporadiques, sans [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] autre logique ni objectif apparent que ceux qui sont restés sur place. Jusqu'à début septembre, Rabie était à portée des canons de l'armée gouvernementale postés au sommet du nid d'aigle de Burj Al-Kassab. Depuis que la position a été prise de haute lutte par l'ée syrienne libre (ASL), la menace vient des hélicoptères.
Dans ce charmant village [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] où les maisons épousent les contours de la montagne, le seul b?timent à les [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] stigmates de combats acharnés est le des renseignements militaires. Rabie est libre, mais vit au ralenti : les révolutionnaires ont remplacé les autorités locales par des conseils élus, soldant au passage de vieilles ranc?urs. "Nous sommes les enfants du pays, mais sous le régime Assad, se plaint Abou Samer, tous les emplois de fonctionnaires vont aux alaouites. Tout est pour eux : le , l'eau, l'argent. Nous ne faisons que ce qui nous revient."
"JE PR?VIENS NOS FR?RES ARM?NIENS ? KASSAB : QU'ILS PARTENT "
Dès qu'ils entendent le vrombissement d'un hélicoptère, ils courent se à l'abri sous le vert et l'ocre automnal des arbres, fuyant b?timents et véhicules, cibles potentielles. Le régime n'utilise pas ses avions de chasse, qui sont obligés de la frontière turque pour de bord.

Relativement tranquille au début de la révolution, le djebel turkmène a fini par se libérer [url=http://www.burnabystorage.com/barbour.php]barbour italia[/url] en juin. Il n'a pas fallu plus de quatre jours de bataille aux révolutionnaires locaux pour Rabie, la principale ville de la montagne. "Pendant les deux mois précédents, nous avons conquis les villages un par un, se souvient Abou Samer, un homme d'?ge m?r qui fait office de chef de la locale, Rabie est tombé comme un fruit m?r."