peuterey Fusion EADS-BAE Systems sanction de la

wlkleo00cpz

Notamment parce qu'outre-Rhin, nombre d'experts jugent que cette fusion a "une réelle logique industrielle". D'ailleurs, en Allemagne, ce sont les militaires qui suivent le projet, alors qu'en France, c'est le ministère des qui l'a pris en charge.
D'emblée, vendredi 14 septembre, BAE "a mis en garde EADS contre toute ingérence politique dans le futur groupe fusionné, faute de quoi il mettrait fin aux discussions en vue de leur [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] rapprochement ", a affirmé le .
En coulisse, on souligne que la France et l'Allemagne, notamment, pourraient hésiter à échanger leur pacte d'actionnaires et tout ou partie de leur participation dans EADS contre une "special share", une action préférentielle, manière de droit de veto dans [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] le nouvel ensemble.
Pragmatique, l'économiste précise que "l'attitude générale est celle de la résignation. Tant que [url=http://travel.bbm3.net/forum.php?mod=viewthread&tid=10786]barbour paris Pourquoi la machine à innover est en panne[/url] ces opérations créent des emplois, c'est une bonne chose. La nationalité importe peu".
Cette réaction négative, au moins dans un premier temps, des marchés a été, semble-t-il, entretenue par la relative discrétion [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] des chancelleries.
que l'annonce, mercredi 12 septembre, de leur prochaine fusion pour créer un [url=http://www.91miku.com/miku2/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=52922]barbour Ideas When Committing In To Your Local Residence Market[/url] géant mondial de l'aéronautique et de la serait accueillie en fanfare par les places financières. Las, c'est une volée de bois vert, venue des places boursières, qui s'est abattue sur les deux groupes sur fond d'interrogation quant à la véritable position de la France et de l' sur ce projet.
Cette défiance des marchés – même si le cours de BAE remontaient vendredi matin –, si elle se prolongeait, pourrait la finalisation de l'accord attendu au plus tard le 10 octobre. "La actionnaire de BAE va-t-elle le projet ? C'est le point clef !", s'interroge EADS. Du c?té [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] du groupe d'aéronautique et de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] défense, on pointe que ses actionnaires, surtout attirés par la santé florissante d'Airbus, ont pu "être déboussolés par une union avec un partenaire tourné vers le militaire" comme BAE.
De source proche du dossier, on rappelle que les Etats [url=http://www.invertired.com/profile.php?user=rtuyrthx&v=comments&v=comments]The Actual Nixon Crosswise On Chronology[/url] disposent déjà d'un droit [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] de veto dans EADS. Dix ans après la création de la maison mère d'Airbus, il n'a été utilisé qu'une seule fois par la France.
Il n'empêche. Outre la France, l'Allemagne aussi, actionnaire à 15 % d'EADS par le biais de Daimler et d'un consortium de banques et d'investisseurs privés, semble gênée aux entournures. "On étudie ?a", a seulement voulu l?cher la chancelière allemande, , jeudi.
Les seules réticences proviennent des eurosceptiques, qui ne décolèrent pas de un des fleurons de l' britannique dans le giron d'un groupe européen.
"L'annonce ne s'est pas faite, si j'ai bien compris, à l'initiative de ces deux grandes européennes, visiblement il y a eu une fuite", souligne , présidente socialiste de la commission de la Défense à l'Assemblée nationale.
A Paris, l'action de la maison mère d'Airbus a fortement dévissé, jeudi 13 septembre, perdant 10,2 % à la cl?ture. A Londres, le cours du britannique BAE a lui aussi piqué du nez, abandonnant 7,29 %. Fitch et Moody's, les deux agences de notation, ont apporté, le même jour, un peu de baume au coeur aux deux groupes. Fitch indique que la fusion aurait un impact positif sur la notation d'EADS et de BAE. Moody's fait la même analyse et ajoute que ce rapprochement renforcerait "significativement" leur compétitivité.
Dans un courrier électronique, a tenu a rassuré, jeudi, tous les salariés d'EADS. Selon lui, la fusion "constituerait une bonne nouvelle tant pour les employés que pour les actionnaires, car le groupe ainsi constitué [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] serait nettement plus fort [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] face aux mouvements et exigences des marchés internationaux".
Interrogé, l'Elysée renvoie sur "l'Agence des participations de l'Etat et sur Bercy, qui gèrent l'affaire". Justement, "cette fusion n'est pas une décision politique mais industrielle", commente-t-on chez EADS. Pour le coup, "les politiques sont suiveurs et non initiateurs du projet", et certains auraient pu en ombrage.
Outre-Rhin, on se souvient que avait fait qu'EADS ne devait pas un sujet pendant la fin de son quinquennat.
C?té politique, le premier ministre, , est favorable au rapprochement de BAE avec EADS. Le chef du gouvernement a présent à l'esprit les [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] 35 000 salariés employés par le groupe britannique au . Justement, Marwan Lahoud, directeur de la stratégie d'EADS et [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] cheville ouvrière de la fusion avec BAE, a tenu à que, à l', le groupe "va de cro?tre en terme d'effectifs".
Pire pour EADS, pourtant dirigé par l' Enders, il faudra vite. Car Mme Merkel ne souhaiterait pas que le dossier de la fusion entre BAE et EADS vienne la campagne pour les élections de 2013.
En France, depuis la révélation de cette tentative de rapprochement entre EADS et BAE, l'Elysée a gardé le silence. Pourtant, pointent les observateurs, la industrielle est au coeur des préoccupations de .
Pourtant, en Allemagne, on remarque que le rapprochement d'EADS avec BAE est loin d'être enterré. Au contraire ! "Si Mme Merkel était contre, on n'aurait même pas entendu de ce [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] projet", indique , spécialiste des questions de défense au sein du cercle de réflexion SWP (Fondation Science et Politique).
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
Lire aussi :?
Après plusieurs mois d'incertitudes, Berlin n'a toujours pas choisi le repreneur de la participation de Daimler dans [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] EADS. Le gouvernement allemand serait divisé.
Si la réaction est mesurée en Allemagne, en Grande-, l'accueil du projet de fusion est sans conteste positif. Notamment dans la presse. "Une démarche sensée" au moment où les budgets de défense sont en baisse, le Times, "Une ère nouvelle", annonce le , tandis que signale "Une bonne chose pour BAE", alors que le groupe britannique se débat dans des difficultés financières.