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Pourtant, la n'annule pas l'urgence de la réforme de la dépendance, même [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] si l'on sait que son co?t sera élevé. Avec principalement les dépenses de soins dispensées par l'assurance-maladie et l'allocation [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] personnalisée d'autonomie, financée par les conseils généraux, la France possède [url=http://cgi.ebay.ca/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=321008881654&ssPageName=STRK:MESE:IT]ugg pas cher Le but du jour [/url] déjà "un socle puissant de couverture de la dépendance". Cette dépense publique de 22 milliards d'euros va du fait de la hausse prévisible des besoins. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] D'ici à 2040, l'effort supplémentaire représentera de 0,28 à 0,69 point de PIB par an. Comment le ?
La piste qui émergeait dans préparatoires à la réforme consistait à la CSG des retraités (6,6 %) sur celle des actifs (7,5 %), [url=http://park16.wakwak.com/~sakura2nd/cgi-bin/yybbs.cgi%3Fpage%3D60]peuterey outlet Climat réch[/url] le gain annuel étant évalué à 2 [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] milliards d'euros. Autant que la réforme risquait de les personnes ?gées, celles qui avaient assuré l'élection de M. Sarkozy en 2007. Quand il donnait la priorité à la réforme de la dépendance en 2011, M. Sarkozy assurait qu'"attendre serait une faute morale impardonnable". Il avait alors revêtu les habits du président protecteur. A huit mois de la présidentielle, M. Sarkozy semble d'abord soucieux de protéger [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] son électorat.
. Près de 35 [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] millions [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] de personnes dans le monde souffrent de ce fléau, [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] dont environ 860 000 en France. En 2008, M. Sarkozy avait agi énergiquement en annon?ant un plan de lutte contre cette maladie. Mais ce n'était que la première étape d'une action plus large contre la , alors que le nombre de personnes ?gées dépendantes [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] devrait , en moyenne, de 1 % par an jusqu'en 2040.
Cette réforme de la dépendance, qui avait été présentée comme une urgence lors [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] la présidentielle de 2007 - M. Sarkozy envisageait alors la création d'une cinquième branche de la Sécurité sociale pour compléter sa prise en charge -, a été ajournée. Le 25 ao?t, Fran?ois Fillon avait considéré que "traiter ce dossier dans le contexte économique et financier que nous connaissons aujourd'hui, dans l'urgence, ne serait pas responsable". Le premier ministre a reporté au "début 2012" ce qui devait être un "chantier prioritaire" de 2011. Autant que la réforme, malgré les dénégations de , ministre des solidarités et de la cohésion sociale, est reportée aux calendes, [url=http://www13.plala.or.jp/white_roots/gwbbs/gwbbs.cgi]moncler sito ufficiale Le yin[/url] après l'élection présidentielle.
Mme Bachelot n'a pas été inactive. Au premier semestre, elle a organisé vingt-six débats dans les départements et quatre en région. La ministre a consulté les partenaires sociaux, les associations et les partis politiques, en essayant de dégager une solution consensuelle. En période préélectorale, cela relevait de la gageure. En 2007, M. Sarkozy avait estimé que la prise en charge de la dépendance devait aussi par l'assurance privée. La [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] dépendance, avait-il affirmé, est "le plus souvent un risque assurable qui peut être couvert par des produits financiers innovants". Mme Bachelot avait toutefois rejeté l'idée d'une assurance privée obligatoire.