peuterey outlet Les actionnaires devraient miser s

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Prenons [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] l'exemple de Potash. En novembre 2010, le gouvernement canadien s'est opposé à la vente, pour 39 milliards de dollars (28,6 milliards d'euros), de ce producteur d'engrais au [url=http://agnello-pecora.chu.jp/CAMeLIA/pagb/glight.cgi]hollister outlet sale Château[/url] géant minier anglo-australien BHP Billiton. Faisant fi des accusations de protectionnisme, Ottawa a rendu service aux actionnaires de Potash.
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Certes, ces derniers n'auraient jamais accepté l'offre initiale de BHP Billiton à 130 dollars l'action. En effet, même avant que le [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] gouvernement n'ait bloqué l'opération, le s'échangeait en à près de 150 dollars. Le groupe anglo-australien s'apprêtait sans doute d'ailleurs à son offre à environ 155 dollars. Cela lui aurait probablement permis de à ses fins.
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Savoir non
Les [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] détenteurs d'actions devraient, eux, se que le fondateur du réseau , Mark Zuckerberg, a résisté en 2006 à des offres d'un milliard de dollars et plus, émanant notamment de Yahoo! Or, on parle maintenant d'une valorisation de 50 milliards de dollars.
CF Industries, un autre producteur d'engrais agricoles, vaut aujourd'hui [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] 50 % de plus que ce que son rival et prédateur Agrium était prêt à il y a un an. Le de la cha?ne d'épicerie américaine Casey's General Stores se négocie lui aussi au-dessus [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] du [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] prix proposé en 2010 par le spécialiste canadien des magasins de proximité Alimentation Couche-Tard.
, on dit toujours que les investisseurs qui boudent les offres de rachat juteuses font un mauvais calcul. Mais les échecs de récentes opérations de ce type n'ont [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] pas été de mauvaises affaires pour les détenteurs du capital des s visées.
Certaines opérations sont évidemment assorties de primes que les actionnaires seraient fous de . Certaines comportent un mélange alléchant de liquidités et d'actions de l'acquéreur. Aussi, certaines offres rejetées, par exemple celle faite par pour Yahoo!, finissent par co?ter cher aux investisseurs. Malgré tout, comme [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] les actionnaires de Potash peuvent en , non peut parfois s'avérer payant.

(Traduction de Ngoc-Dung Phan.)
Mais le Potash s'est depuis apprécié, dépassant les 190 dollars lundi 14 février. S'ils avaient accepté une offre à 155 dollars, les actionnaires de la société canadienne auraient donc renoncé à près de 25 % de leurs gains potentiels actuels. C'est justement ce scénario qu'avait défendu la direction du groupe pour sa contre le prédateur BHP.

Depuis, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] les [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] prix des denrées alimentaires et autres se sont en effet envolés, et avec eux celui des engrais. Le prix de la potasse, un composant indispensable à [url=http://bbs.sanyoubf.com/home.php?mod=space&uid=467569]woolrich bologna Ini Avan, celui qui revient se[/url] la fabrication [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] d'engrais et le produit phare du canadien Potash, a atteint près de 370 dollars la tonne, contre environ 340 dollars en novembre 2010, selon le site InfoMine.com. Cela explique en partie la valorisation accrue de la société.