moncler sito ufficiale Luniversité de la Manouba,

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Dans , qu'ils devaient vendredi à l'ambassadeur tunisien auprès de l'Unesco, Khema?s Chamari, ces universitaires et chercheurs, souvent proches de la [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] , se disent "émus par les agressions physiques subies fin novembre et début décembre par des collègues tunisiens dont le doyen de l'université de la Manouba" et font part de leur "soutien (...) pour une gestion de l'université indépendante de toutes pressions politiques ou religieuses extérieures".
Parmi ces signataires figurent notamment le [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] généticien spécialiste du clonage et des [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] OGM, , président de l'université Paris-Descartes ; le linguiste ège, né en Tunisie ; les historiens et ; l'économiste , président du conseil scientifique de l'association Attac ; ou bien encore le professeur de génétique, , président de la Commission du génie biomoléculaire, coordonnateur du projet. D', du , ou d', quelques autres s'y sont associés.
Jeudi, c'est dans un tout autre que les occupants de la Manouba ont été reconduits [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] vers la sortie, après la prière, en présence de hauts gradés du ministère de l'intérieur, et du doyen resté d'un bout à l'autre sur place.
Vendredi, le conseil scientifique de la faculté devait décider de sa réouverture, et l'administration devait possession des lieux pour préparer la reprise des cours prévue lundi 9 janvier. Un calendrier va être mis au point pour le temps perdu et une nouvelle session d'examens. "C'est jouable, estime le doyen, à [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] condition qu'ils (les salafistes) ne reviennent pas à la charge. J'espère que ce n'est [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] pas un repli stratégique."
Depuis, [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=390333318675&ssPageName=STRK:MESE:IT]moncler outlet Save Money Wit[/url] une trentaine de jeunes barbus campaient dans le hall et devant la porte du doyen pour réclamer le port du niqab pour les jeunes femmes en classe et lors des examens, ainsi que la création, dans [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] l'enceinte de la faculté, d'un lieu de prières. L'un de ces protestataires, que son père était venu , s'est tué d'un coup de couteau.
"?a a pris du temps, de 15 h 30 à 18 heures, après moult délibérations, la police a agi avec beaucoup de tact. A un moment, ils ont même coupé le courant", raconte M. Kasdaghli, qui a fermement refusé que le [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350296583336&ssPageName=STRK:MESE:IT]barbour jackets Methods To Po[/url] groupe s'installe ailleurs dans l'université. "En tout cas, je n'ai donné aucun accord, ni sur le niqab, ni sur la mosquée", se félicite-t-il.
Pour le nouveau gouvernement tunisien, [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] dominé par le parti islamiste Ennahda, vainqueur des élections d'octobre 2011, la gestion du conflit représentait un test, guetté par la gauche.
des 200 signataires de l'appel des
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universitaires fran?ais pour leurs collègues tunisiens.
Depuis le début du mois de novembre 2011, la tension était montée à la faculté de lettres de la Manouba, au point que le conseil scientifique de l'établissement avait fini par la décision de les 8 000 étudiants chez eux pour des raisons de sécurité.
Convaincus que les incidents qui se sont multipliés ces dernières semaines en Tunisie dans le milieu universitaire sont un signal d'alarme, comme en témoignent les nombreux messages électroniques qu'ils se sont échangés, les quelque 200 pétitionnaires ont décidé de leur démarche, malgré l'évacuation de la Manouba. "L'affaire du niqab ( intégral) est un pétard pour les capacités de résistance de la [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] société tunisienne, c'est pour cela que l'on bouge", explique l'un de ces chercheurs qui préfère ne pas son nom en avant.
est intervenue, jeudi 5 janvier, pour déloger le groupe de salafistes qui occupait depuis des semaines la faculté des lettres de l'université de la Manouba, près de Tunis, l'une des plus importantes du pays. "Tout s'est bien passé, je demandais ?a depuis le 6 décembre", soufflait dans la soirée, soulagé, le doyen de la faculté, Habib Kasdaghli. Au même moment, près de 200 [url=http://www.yt422.com/bbs/home.php?mod=space&uid=4421][/url] universitaires fran?ais signataires d'un appel, se mobilisaient pour leur soutien à leurs collègues tunisiens.
Lieu de résistance pendant le régime de l'ancien président - , secrétaire général du parti Ettajdid en avait été exclu -, la Manouba reste, encore aujourd'hui, tout un symbole.
"Repli stratégique" ?
Mercredi 4 janvier, un bref sit-in d'enseignants et de fonctionnaires devant le ministère de l' a tourné à la pagaille. Après que la foule a envahi le hall [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] du ministère, des [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister[/url] policiers ont malmené les [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] manifestants. Une journaliste tunisienne a été tra?née par terre et son appareil photo lui a été brutalement arraché selon des témoins.