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s'il est temps de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] réduire les déficits, mais à quel rythme, jusqu'où et par quels moyens.
Hors ces conditions, les ajustements [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] budgétaires sont presque toujours co?teux en croissance, comme l'a récemment confirmé une étude du Fonds monétaire (FMI).
Le plan Ryan, lui, affiche une réduction plus forte du déficit, mais surtout, il envisage des coupes dans les dépenses sociales en vue d'en avec ce qui reste du modèle welfare et de une baisse des .
A l'évidence, le sentiment [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] d'urgence qui imprègne tous les comportements européens n'était pas si répandu outre-Atlantique.
Elle a même procédé, fin 2010, à [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] une nouvelle relance (en partie pour les politiques [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] très restrictives des Etats) : choix tout à fait défendables, mais qu'est venu le manque de toute réflexion sérieuse sur le rythme et les modalités du redressement futur.
Ce combat est inégal, parce que ceux qui aspirent à l'Etat à la portion congrue sont plus disposés à le risque de le en faillite que ceux qui tiennent à le préserver. L'administration Obama a déjà fait des concessions sur les baisses d'imp?ts et les coupes dans les dépenses.
Puis il a annoncé un effort structurel annuel de 1,5 point, en vue de réduire le déficit à 3,5 % du PIB en 2013. Son pari est que cet ajustement [url=http://cgi.ebay.ca/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=321008881654&ssPageName=STRK:MESE:IT]hollister Ligue 1 Lorient b[/url] ne pèse pas sur la croissance, voire qu'il la stimule.
Mais une nouvelle phase s'est ouverte, le 8 avril, avec l'accord de dernière heure, au Congrès, entre républicains et démocrates pour éviter une "fermeture" (shutdown) des administratifs du gouvernement fédéral, qui aurait entra?né la mise au ch?mage technique de 800 000 fonctionnaires, et avec le programme budgétaire préparé par le républicain , [url=http://www.tarao.com/cgi-bin/resbbs/resbbs.cgi]doudoune moncler homme Federe[/url] qui a re?u l'adhésion de la Chambre des représentants.
Mais l'analyse de ces épisodes quasi miraculeux montre que, pour ou même les effets récessifs usuels, il faut que l'épargne de précaution des ménages diminue, que les taux d'intérêt à long [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] terme baissent et que la banque centrale mène une monétaire plus expansionniste, dépréciant par là le taux de change.
A Londres, le premier ministre, a, dès son arrivée au , confié [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] les prévisions budgétaires à un Office for Budget Responsibility (bureau pour la responsabilité budgétaire) indépendant, se fermant ainsi la possibilité de à des habiletés comptables.
Du coup, il lui devient de plus en plus difficile de la croissance, alors même que celle-ci est [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] au point mort : sur les deux derniers trimestres, elle a été nulle. Le pari de David Cameron n'est pas gagné.
Le débat budgétaire est engagé.
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Mais, en partie à cause de l'envolée du prix des et des [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] faibles gains de productivité des , l'inflation est plus élevée que prévu : la prévoit qu'elle sera aux alentours de 3 % début 2012, près de deux points au-dessus de ce qu'elle envisageait en 2010.
Dans le cas britannique, on ne pouvait sur une chute de l'épargne (les ménages sont très endettés) ni sur une baisse des taux longs (ils sont très bas). Restait la politique monétaire.
Cependant, les objectifs restent flous et le désaccord quant aux moyens, massif. L'administration Obama veut procéder pour deux tiers par une réduction des dépenses, et pour un tiers par une hausse des prélèvements.
Une fois encore, Royaume-Uni [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] et Etats-Unis servent de laboratoire de politique économique du monde. Nul doute que les résultats des expériences qui s'y déroulent seront de grande portée pour tous les autres pays avancés.
L'attitude américaine a été tout autre. Confrontée au ch?mage, l'administration Obama a retardé l'ajustement budgétaire pour ne pas sur la reprise.
Depuis que l' et le en ont illustré la possibilité, il y a vingt-cinq [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] ans, nombre de gouvernements rêvent de réussir des contractions budgétaires expansionnistes.
En , la chancelière allemande, Angela Merkel, fait figure de mère-la-rigueur. Mais elle agit avec précaution : l'ajustement budgétaire du pays est très graduel. Les vrais tests, ce sont le et les Etats-Unis, dont les déficits ont dépassé 10 % [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] du produit intérieur brut (PIB) en 2010.
L'opposition frontale entre les deux camps suggère qu'une guerre d'attrition s'est engagée aux Etats-Unis. L'urgence commune est la situation des publiques, mais chaque camp veut le déficit pour prévaloir ses propres préférences.