louboutin pas cher Ayrault annonce la dissolution

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Ces dernières années, Troisième Voie et les JNR étaient assez peu visibles, si ce n'est lors du défilé traditionnel de l'extrême droite radicale, distinct de celui du , au mois de mai. Sur son site Internet, le mouvement protestait samedi contre l'interdiction d'une manifestation prévue par le Mouvement des jeunesses nationalistes ce jour-là à Toulouse "pour commémorer le de la bataille du 9 juin 721 qui vit le duc Eudes d' défaire, devant les portes de notre ville, les hordes sarrasines".
UNE CENTAINE DE GROUPUSCULES DISSOUS
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à la dissolution du groupe d'extrême droite Troisième Voie et d'autres "groupements" de cette mouvance, près d'une semaine après la rixe qui a co?té la vie à Clément Méric, étudiant à Po de [url=http://www.harryonline.net/evernote/send-google-mail-to-evernote/226/comment-page-5#comment-170262]Seek And Find[/url] 18 ans.
Serge Ayoub, alias [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] "Batskin", avait condamné samedi la décision de , affirmant que les JNR n'avaient "pas de statut" ni "d'existence légale", et n'étaient "pas impliquées" dans la mort de Clément Méric. "En voulant en pièces l'extrême droite, Ayrault met en pièces l'intelligence", a-t-il ajouté.?
Ces groupes d'extrême droite radicale seront soumis à la même procédure contradictoire que les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) le dernier. A l'issue de cette procédure, le chef de l'Etat [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]peuterey outlet[/url] est susceptible de présenter en conseil des ministres un décret de dissolution de ces groupes, a précisé le premier ministre, lors de la séance des questions d'actualité. La référence à des groupes "d'extrême droite" a entra?né des réactions sur les bancs de l'opposition, certains députés évoquant à haute voix les groupes d'extrême gauche. Jean-Marc Ayrault les a en retour invités à preuve d'"un peu de dignité".
LES CONDITIONS DE DISSOLUTION "SONT R?UNIES"
Lire :
Par contre, le Conseil d'Etat exige une motivation étayée et le respect d'une procédure contradictoire, obligatoire [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] depuis 1979. Il a ainsi fallu s'y à trois fois pour la Fédération d'action nationale et européenne (FANE), organisation d'extrême droite radicale. Le premier décret, en 1980, ne comporte pas de motif. Annulé. Le second, en 1985, précise les motifs – "provocation à la haine, à la discrimination et à la violence raciales", entre autres – mais le gouvernement n'a pas laissé la possibilité aux intéressés de s'. Excès de . Le dernier, en 1987, remplit enfin tous les critères. Il est validé.
Troisième Voie, qui a multiplié les franchises locales depuis, attire essentiellement un public [url=http://www.matsue-yado.com/otoku/clip.cgi]louboutin LUE va restituer à [/url] de jeunes skinheads, parfois aussi de jeunes hooligans, souvent fascinés par la légende de "Serge". Les JNR en sont une sorte de service d'ordre, qui compte vingt à trente militants tout de noir vêtus, arborant parfois une devise héritée des fascistes italiens : "Croire, obéir, combattre".
Le premier ministre avait demandé samedi 8 juin au ministre de l'intérieur, , "d' immédiatement" une procédure en vue de [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] la dissolution du groupuscule d'extrême droite après la mort de Clément Méric. Cette demande se fondait également sur la base d'éléments antérieurs et "plus larges" que la seule [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] rixe au cours de laquelle le jeune militant est mort mercredi.
Lire le décryptage :
Les cinq personnes impliquées dans la rixe à l'issue de laquelle est mort Clément Méric ont reconnu être sympathisantes de Troisième Voie.?
Sur cette centaine de dissolutions prononcées depuis 1936 par décret, une poignée ont été [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] annulées par le , mais elles dessinent une jurisprudence claire. Concernant la définition d'un "groupe" ou d'une "milice", la haute juridiction administrative a adopté "une attitude assez pragmatique", notait un rapport parlementaire de 1999. Et elle ne se prononce pas sur l'opportunité de la dissolution.
"On est sur [url=http://www.idingfen.com/growth-talk/common-terms-advertising.html#comment-84893]Bernard Accoyer dénonce un déni de démocratie parlementaire [/url] les JNR au-delà de ce qui s'est passé" le 5 juin, expliquait un de M. Ayrault. "Les conditions, très restrictives, pour une procédure contradictoire de dissolution sont réunies." Des éléments de renseignement laissent notamment , selon cette source, que les JNR étaient en passe de un "groupe de combat".?
Portrait (édition Abonnés) :
Depuis relative aux "groupes de combats et aux milices privées", l'Etat peut notamment un groupe qui incite "à la haine ou à la violence envers une personne en fonction de ses origines, son ethnie, sa [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] race ou religion", ou appelant à des "manifestations ées dans la rue". Une centaine [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry outlet[/url] de groupes ont ainsi été dissous : l'Action fran?aise en 1936, le FLN en 1957, [url=http://www.wiis.fr]louboutin pas cher[/url] l'OAS [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]www.par5club.com/louboutin.php[/url] en 1961, Ordre nouveau et la Ligue communiste en 1973...
La dissolution de ces groupes d'extrême droite doit répondre à des critères parfois difficiles à définir et ne constitue pas une solution à long terme, estiment certains analystes. une organisation, c'est le risque de la dans la clandestinité et donc, pour l'Etat, l'obligation de déployer les de renseignement nécessaires pour la ... Au risque de sa trace, et donc un contr?le sur ses activités. Autre écueil : la création d'un nouveau groupe. Des militants d'Unité radicale, un groupuscule néo-nazi dissous après la tentative d'assassinat par Maxime Brunerie de en 2002, s'étaient ainsi rassemblés par la suite au sein d'un nouveau groupe, Bloc identitaire.
SERGE AYOUB, AU C?UR DE LA N?BULEUSE
"CROIRE, OB?IR, COMBATTRE"
Les JNR ont été créés [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] par , ancien chef des skinheads d'extrême droite parisiens. Elles regroupent les vieux de la vieille, des quadras ou quinquas, qui forment depuis des années la garde rapprochée de M. Ayoub et l'aident surtout à Le Local, un bar du 15e arrondissement de Paris, l'un des principaux lieux de rendez- de l'extrême droite radicale dans la capitale.?
Lire les faits :
Troisième Voie, également créée par Serge Ayoub, est de fondation récente (octobre 2010) et son recrutement est plus ouvert. Il se réclame du courant solidariste qui développe un [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] aspect "" dans son discours, plus ou moins hérité du fascisme de la République sociale italienne et du Front noir des frères Strasser. Le groupuscule se réclame du "solidarisme" : au sein de l'extrême droite, il s'agit d'un discours teinté de social, qui remonte aux années 1970, avec un double refus du "marxisme totalitaire" alors incarné par l'URSS et du "capitalisme " des Etats-Unis.
LES JNR "PAS IMPLIQU?ES", SELON LEUR CHEF