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L'intervention des parents n'est pas ce qui inquiète le plus , représentant du syndicat de chefs d'établissement SNPDEN. "L'environnement familial compte, mais ce n'est pas propre au brevet", dit-il. Il ne pense pas que l'évaluation des collégiens dans l'établissement qu'ils fréquentent fausse la donne. "C'est un faux débat : il faut confiance aux enseignants, à leur probité", l?che-t-il. Le noeud du problème réside plut?t, selon lui, dans l'ambigu?té d'un brevet qui, depuis sa réforme en 2011, additionne les notes et les compétences, au détriment de la cohérence. "Il revient aux politiques de entre ces deux logiques", conclut-il.
En théorie, le "précédent" de 2011 ne saurait se répéter : une circulaire, publiée le 10 novembre, définit plus précisément l'épreuve. L'oral de 15 minutes [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry outlet[/url] - exposé et entretien - se déroule face à un jury de deux enseignants évaluant les candidats sur un sujet choisi parmi cinq objets d'étude. Une grille indicative des critères d'évaluation, assortie d'un barème de notation, est proposée aux enseignants.
Selon les résultats d'une menée par le SNES-FSU, syndicat majoritaire dans le secondaire, 74,2 % des 263 professeurs interrogés sont favorables au principe de l'enseignement, mais 40 % ne sont pas satisfaits de l'épreuve. "Sans harmonisation entre les établissements, sans heures [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] dévolues à cet enseignement, les collègues qui s'en sont emparés ont d? chacun un peu dans leur coin...", explique Sandrine , enseignante d'éducation musicale à Clermont-Ferrand.
"OUVERTURE CULTURELLE FANTASTIQUE"
"Dipl?me maison" : l'expression fait Brigitte, qui reconna?t "un peu" contribué au succès de son fils. Le collégien conna?t déjà sa note - 20 -, même si le règlement l'interdit : "J'étais là pour la réécriture, l' à l'exposé."
Instauré en 2011, l'exercice n'a rien d'une formalité, puisqu'il est affecté d'un coefficient 2, au même que les épreuves écrites de fran?ais, de et d'histoire-géographie-éducation civique. Pas s?r qu'il angoisse beaucoup de collégiens pour autant : depuis cinq ans, ils sont huit sur dix à décrocher leur brevet - un tiers haut la main, avec mention "bien" ou "très bien".
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, un oral que présentent près de 800 000 élèves de 3e dans leur établissement.
Cécile [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] Texier ne fait pas de secret de la relative indulgence avec laquelle des candidats ont pu être [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] notés : "Les consignes sont précises : ne pas hésiter à la note maximale à un collégien qui s'exprime correctement, a fait des recherches et ma?trise son sujet." "J'ai [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] vu de bons élèves se , mais aussi de moins bons se remotiver, des compétences autrement... pour eux aussi !", témoigne [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] , professeur d'histoire-géographie à Lyon.
"C'est un progrès, réagit 'h, professeur d'histoire-géographie en Haute-Normandie et représentant du SE-UNSA. Mais la circulaire est arrivée tard : très peu de collègues m'ont confié [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] l' [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] cette année. On va dans le sens d'une plus grande équité des élèves, mais [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] les modalités de préparation, parfois la forme même de l'épreuve, sont encore du ressort des établissements. Aux collègues de se débrouiller comme ils peuvent [url=http://www.cmzdzf.com/E_GuestBook.asp]barbour fr[/url] !"
Ga?lle Lorvellec, [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] enseignante à Montreuil, est plus critique sur la notation, évoquant des "pressions pour que les jurys soient généreux, des épreuves de rattrapage...". "Le pourcentage de réussite des collèges au brevet en dépend, explique-t-elle. Avec un programme spécifique, on éviterait cet aspect de "dipl?me maison"."
"DIPL?ME MAISON"
La préparation [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] de l'oral n'est pas dénuée d'intérêt pour autant, témoigne Cécile Texier, professeure d'éducation musicale dans le Tarn. La jeune femme a travaillé en bin?me avec son collègue d'arts plastiques, mais le duo s'est vite élargi. "Les professeurs d'histoire, d'espagnol, de fran?ais, et parfois ceux d'anglais, [url=http://www.sxtbjw.gov.cn/GuestBook.asp]barbour.co[/url] nous ont rejoints. [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] Ceux de maths font des efforts pour s'intégrer. Ceux de , de , de techno et même de participent aux jurys, note-t-elle. Nous sommes plut?t satisfaits des résultats. Pour certains élèves, c'est une ouverture culturelle fantastique."
C'est plut?t auprès des enseignants - et des parents - que l'épreuve orale et son absence de cadrage sont devenues source d'inquiétude. Jurys convoqués au débotté, candidats "surnotés"... Le baptême du feu de l'épreuve d'histoire des arts [url=http://bbs.51yxi.com/home.php?mod=space&uid=35785][/url] a laissé, en 2011, bien des participants perplexes.
Des enseignants qui, depuis que l'histoire des arts a fait son entrée au collège en 2009, n'ont souvent re?u ni formation adéquate ni horaires spécifiquement dévolus, dénonce l'Association des professeurs d' et d'histoire de l'art des universités, qui réclame un concours - CAPES - spécifique.