www.achbanker.com/home.php En Iran, le journal ré

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De nombreux journalistes en Iran ont posté le logo du journal sur les réseaux sociaux pour afficher leur solidarité avec leurs confrères et cons?urs. [link widoczny dla zalogowanych] Des caricaturistes ont également signé une lettre ouverte, dans laquelle [link widoczny dla zalogowanych] ils rejettent?la mauvaise interprétation de l'oeuvre de leur collègue.
Il [link widoczny dla zalogowanych] est dans l'ordre des choses, en Iran que la publication d’un journal soit suspendue et que ses journalistes se [link widoczny dla zalogowanych] retrouvent du jour au lendemain au ch?mage. Cette fois-ci, il s'agit du quotidien Shargh,?qui? mercredi 26 septembre, sur ordre du Conseil de surveillance de la presse (un organe attaché au ministère de la culture et de la guidance islamique).
Le quotidien avait publié une caricature intitulée "[la cérémonie du] Bandage des yeux".?Le directeur du titre, Mehdi Rahmanian, a été arrêté et emprisonné le jour même. Hadi Heidari, le caricaturiste, convoqué par le système judiciaire, évoque un "malentendu".
Shargh est l'un des rares journaux [link widoczny dla zalogowanych] réformateurs existants en Iran. Depuis septembre 2003, il a subi à plusieurs reprises des fermetures temporaires.
L'auteur de la caricature,?l'un des plus célèbres dessinateurs de la presse iranienne, a immédiatement réagi en rendant hommage aux martyres de la [link widoczny dla zalogowanych] guerre et en précisant qu’il cherchait, par le biais de son dessin, [link widoczny dla zalogowanych] à?illustrer?"l'ignorance"?de ceux qui ferment les yeux "sur la lumière du soleil".
Sur ce dessin [link widoczny dla zalogowanych] controversé, on peut voir des hommes debout en file indienne, chacun attachant un bandeau sur [link widoczny dla zalogowanych] les yeux de celui qui le précède. Les critiques font valoir que cette image fait référence à des photos prises lors de la guerre Iran-Irak, sur lesquelles des soldats ajustaient les bandeaux [link widoczny dla zalogowanych] de leurs camarades.
Peu après sa parution, les journaux et sites conservateurs, ainsi que ?conservateurs, ont demandé que le quotidien soit puni pour [link widoczny dla zalogowanych] insulte aux [link widoczny dla zalogowanych] vétérans. Mohammad Hosseini, le ministre de la culture et de la guidance islamique a déclaré être favorable à la fermeture de Shargh.
A l’approche des élections présidentielles, prévues en juin 2013, certains journalistes considèrent que le régime iranien cherche par des prétextes divers à suspendre ou à mettre fin aux activités médiatiques des réformateurs.
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