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Posted: Sun 15:54, 22 Sep 2013 Post subject: www.vivid-host.com/barbour.htm Ménage à tr |
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Maintenant, il faut se "réconcilier". Codifiée depuis 1974, la réconciliation est un [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] processus législatif d'ordre initialement budgétaire qui s'est étendu aux Etats-Unis à tout texte de loi majeur ayant été adopté séparément et faisant l'objet d'amendements distincts dans chacune des deux Chambres. Pour ce qui est de [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] la réforme du secteur financier, un texte a été voté par les représentants il y a cinq mois. Un autre vient de l'être par les sénateurs. Les deux ambitionnent de le pays des moyens d'éviter une nouvelle crise dévastatrice. Mais sur presque chaque thème - de la protection des contribuables ou des actionnaires aux primes des grands financiers en passant par les produits dérivés ou les prérogatives des organes de contr?le de l'Etat -, les deux projets de loi incluent des différences parfois substantielles.
Se réconcilier consiste donc, pour les dirigeants des deux Chambres, à négocier une voie médiane qui emportera les suffrages d'une majorité de leurs membres. Dans le cadre du checks and balances - [url=http://122.226.141.46:9988/showtopic-273195.aspx]www.achbanker.com/home.php 1st Time Approaches For Adult Men[/url] cet équilibre des pouvoirs entre exécutif et législatif où chacun dispose de moyens de contrepoids à l'autre -, le texte de synthèse doit, enfin, s' [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] de les desiderata présidentiels. Peu avant l'issue des débats au Sénat, M. Obama avait ainsi rendu publique une déclaration : "J'opposerai mon veto à une législation qui ne placerait pas sous contr?le les marchés de produits dérivés." Les sénateurs l'ont entendu [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] : ils ont adopté un texte plus contraignant que celui de la Chambre. Mais ni la Maison Blanche ni la [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/]hollister pas cher[/url] Réserve fédérale n'imaginent tout accès des banques commerciales à ces outils financiers.
Dans ce ménage à trois Sénat-Chambre-présidence, le premier a généralement un poids prépondérant dans l'élaboration de la synthèse. Ce fut le cas dans la précédente [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] réforme d'envergure sur [url=http://www.sybup.com/bbs/read.php?tid-177823-displayMode-1.html]barbour sale TF1-France 2 1-0[/url] l'assurance-santé. Le Sénat avait obtenu le retrait de toute référence dans la loi à l'instauration d'une compagnie d'assurance-maladie publique - à la grande satisfaction de l'assurance privée. Car ce ménage se joue presque toujours [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] à quatre. Si le président est le ma?tre du Palais, le Sénat son épouse légitime et la Chambre des représentants sa première concubine - lesquelles, malgré leurs [url=http://www.binwach.com/members/home]www.vivid-host.com/barbour.htm Yahoo sapprêterait[/url] rivalités, ont intérêt à s' lorsqu'une même majorité les domine -, le lobbyiste est l'amant des deux dernières. Un amant généreux mais ombrageux, prompt à répudier une ma?tresse tra?tresse (en lui refusant de sa future campagne électorale, par exemple...).
Pour et les démocrates, sauf dérapage incontr?lé, l'essentiel semble assuré : loi il y aura. Mais laquelle ? Par quelles procédures de validation devront les "outils financiers" propres à la spéculation avant d'être commercialisés ? Faut-il complètement, partiellement ou pas du tout la "vente à découvert" (une des méthodes les plus prisées des [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] spéculateurs) ou les opérations dites "pour compte propre" des banques. Quelles seront les obligations de transparence d'un courtier vis-à-vis de son client ? Sur ce dernier sujet, la Chambre des représentants impose des normes, le Sénat ne le fait pas. En revanche, les sénateurs, plus souples sur les modalités et les délais d'application de la "règle Volcker" (séparation des activités de banque d'affaires et de banque de dép?t), sont plus précis quant aux moyens de contr?ler la "prise de risque" des banquiers. Et leur texte est plus contraignant pour les fonds spéculatifs.
Un amant que l'époux, comme il se doit, abhorre. Dimanche 23 [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] mai, sur son site Internet Organizing for America, Barack Obama a appelé ses supporteurs à lui la route, car les lobbies "ne désarmeront pas". Jusqu'au vote final, écrit-il, "ils vont le paquet. C'est leur dernière fenêtre de tir pour éluder, ou la réforme ; et ils n'ont pas pour habitude de perdre". En réalité, vu l'hostilité affichée par l'opinion envers Wall Street, ces lobbies financiers savent que leur chance d'éviter une imposante régulation est [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] infinitésimale. Il leur reste à préserver certaines priorités. [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] Exemple : pour éviter au "contribuable" (le Trésor public) d'éponger les co?ts des faillites de banques ou d'assurances dues à leurs pratiques spéculatives, comme en 2008, la Chambre prévoit la création d'une caisse de compensation à hauteur de 150 milliards de dollars alimentée par les grandes banques. Le Sénat n'impose qu'un mécanisme d'intervention a posteriori. Au départ, les lobbies [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] ne voulaient aucune règle de ce type ; ils chercheront désormais à qu'elle soit la moins contraignante possible.
Malgré la mise en garde présidentielle, ils tenteront aussi de le contr?le sur les produits dérivés. Scott Talbott, directeur exécutif du principal d'entre eux, le Financial Roundtable, entend une campagne "à l'ancienne". Du porte-à-porte pour chacun des 100 sénateurs et des 435 représentants que la plupart des dérivés, loin d'être nocifs, sont utiles et rendent les marchés "plus liquides". Les élus auraient donc tort de les tous avec l'eau du bain. Mais à l'approche des élections législatives de novembre, M. Talbott le sait bien, beaucoup parmi eux se demanderont jusqu'où leurs électeurs seront capables de un raisonnement si sinueux. Car à quoi servirait tout l'argent des lobbyistes si, en plaidant leur cause, l'élu assurait sa propre défaite, en novembre ? Verdict de cette foire d'empoigne avant six semaines.
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